L’heure est aujourd’hui à l’équilibre, avec une hausse de 0,1% des prix immobiliers dans l’Hexagone au cours du mois écoulé mais pour la première fois depuis août 2015, les prix à Paris intra-muros ont reculé au cours des douze derniers mois (-0,1%).
L’heure est aujourd’hui à l’équilibre, avec une hausse de 0,1% des prix immobiliers dans l’Hexagone au cours du mois écoulé mais pour la première fois depuis août 2015, les prix à Paris intra-muros ont reculé au cours des douze derniers mois (-0,1%).
Après une année 2020 en dents de scie où phases d’euphorie et périodes de ralentissement n’ont cessé de se succéder, 2021 commence beaucoup plus calmement. L’heure est aujourd’hui à l’équilibre, avec une hausse de 0,1% des prix immobiliers dans l’Hexagone au cours du mois écoulé.
Pour la première fois depuis août 2015, les prix à Paris intra-muros ont reculé au cours des douze derniers mois (-0,1%), plombés par la baisse marquée des tarifs des grandes surfaces (-1%). Bilan : alors qu’en février dernier, la ville atteignait les 10 500 € le m2 et semblait en route pour atteindre les 11 000 € le m2, elle est aujourd’hui retombée à 10 350 € le m2. Un niveau qui demeure toujours particulièrement élevé par rapport au reste de l’Hexagone. Les points clés L’heure est aujourd’hui à l’équilibre.
Preuve en est : la stabilisation des tarifs enregistrée depuis la fin octobre tend à se poursuivre, avec seulement 0,1% de hausse dans l’Hexagone au cours du mois écoulé. Ce phénomène d’atterrissage tarifaire atteste de la solidité actuelle du marché et surtout de sa capacité de résilience ; la pierre continue à jouer à plein son rôle de valeur refuge. Des incertitudes pèsent sur l’emploi, la question de l’accès au crédit se pose : en conséquence, les acquéreurs se font toujours discrets et le rapport entre l’offre et la demande se rapproche de l’équilibre dans la quasi-totalité des dix plus grandes métropoles françaises ainsi que dans la capitale.
Pour la première fois depuis août 2015, les prix à Paris intra-muros ont reculé au cours des douze derniers mois (-0,1%), plombés par la baisse marquée des tarifs des grandes surfaces (-1%). Si, traditionnellement, les prix en banlieue suivent l’impulsion parisienne, les derniers mois font figure d’exception. En un an, le prix de la pierre a en effet grimpé de 2,5% en petite couronne et de 2,7% en grande couronne.
(source MeilleursAgents)