En 2021, l’immobilier s’est finalement joint au mouvement de reprise, mais si l’on se réfère aux niveaux pré-pandémiques, les marchés d’actions mondiaux ont encore du potentiel et le rallye ne semble pas terminé.
En 2021, l’immobilier s’est finalement joint au mouvement de reprise, mais si l’on se réfère aux niveaux pré-pandémiques, les marchés d’actions mondiaux ont encore du potentiel et le rallye ne semble pas terminé.
Les valorisations restent relativement attractives compte tenu de la reprise et des déconfinements progressifs des économies développées. L’immobilier peut offrir un accès à la dynamique de croissance structurelle de long terme et à des poches de valeur qui peuvent être déployées à mesure que les économies se déconfinent.
L’immobilier mondial
Les investisseurs pourraient tirer parti de la reprise américaine, car le pays représente environ 60 % de l’indice Dow Jones Global Select Real Estate Securities. Les REIT (Real Estate Investment Trust) industrielles, en français SIIC (Sociétés d’Investissements Immobiliers Cotées), sont les foncières cotées majoritaires et sont soutenues par la montée en puissance de l’ecommerce : les entrepôts de distribution semblant entrer dans leur âge d’or.
Les foncières de détail et de bureaux représentent de belles réserves de valeur car les perspectives s’améliorent avec la reprise générale.
L’immobilier en Europe et au Royaume-Uni
Le résidentiel allemand est le cœur de l’immobilier continental coté. La pénurie structurelle de l’offre sur le marché allemand du logement perdure et permet aux propriétaires de tirer parti de l’augmentation des loyers et de revaloriser leur portefeuille. Alors que les campagnes de vaccination s’accélèrent sur le Vieux Continent, les sociétés d’immobilier de détail et de bureaux permettent aux investisseurs de capter encore de la valeur, car ces segments du secteur immobilier n’ont pas encore été entièrement revalorisés.