En septembre, 309 000 ménages allocataires étaient en situation d’impayés, selon la Caisse nationale d’allocation familiale.
En septembre, 309 000 ménages allocataires étaient en situation d’impayés, selon la Caisse nationale d’allocation familiale. Un chiffre stable en novembre mais les retards augmentent.
En septembre, 309 000 ménages allocataires étaient en situation d’impayés, selon la Caisse nationale d’allocation familiale. Un chiffre qui n'a pas "significativement augmenté, ni dans le parc social, ni dans le parc privé" en novembre, selon l'Observatoire des impayés et des charges. La Fondation Abbé Pierre rappelle que "sans allocation logement, l'impayé de loyer est constitué à partir du moment où le loyer n'est pas payé à la date convenue. Si une allocation logement est versée au locataire, l'impayé est constitué à partir du non-paiement de 2 mois de loyers (+ charges) en totalité (consécutifs ou non) ou son équivalence en montant. Si l'allocation logement est versée directement au bailleur (en tiers payant), l'impayé est constitué à partir du non-paiement de trois termes consécutifs nets (sans l'allocation), ou d'une somme qui équivaut à deux loyers bruts (+ charges)".
Le Figaro précise, de son côté, que 13 % des propriétaires privés ont été contactés par leur locataire, selon un sondage mené par l’Union nationale des propriétaires immobiliers. 60% des propriétaires sollicités ont accepté de mettre en place des aménagements. De plus, dans la dernière édition de son baromètre publié le 5 novembre, l'Anil constate "un niveau soutenu de sollicitation des Adil (les agences départementales d'information sur le logement, NDLR) sur les différents sujets en lien avec les impayés, en particulier de la part des locataires du parc privé pour lesquels est constatée une hausse de l’ordre de 15 % du nombre de consultations par rapport à la situation de septembre-octobre 2019".